samedi 1 décembre 2012

Tristesse Contemporaine x Black Keys

Hier soir, j'ai continué mon marathon concert. J'étais invité sur le concert des Black Keys. J'ai vu le duo en janvier dernier au Zenith de Paris et à Rock en Seine, donc je connais bien le live. Et ça envoie! Très moyennement emballée par la Halle Tony Garnier, j'ai donc décidé de ne faire que la fin du concert avec 2 morceaux et le rappel. C'était juste ce qu'il faillait pour ne pas gâcher le plaisir qu'avaient eu mes oreilles aux deux concerts précédents. Heureusement que les Black Keys sont brillants pour pallier à la pire acoustique du monde : la Halle (trop d'aigües, la guitare était prédominante...etc.). Mais l'ambiance de folie était là. Ce groupe est génial. Aussi bien leur musique, que le plaisir manifeste qu'ils prennent à jouer ensemble. Les petits solo de guitare de Dan et l'énergie de Patrick à la batterie créent toujours cette sensation de voir un concert unique.

Les BK ont fait d'autres albums que les 5 qu'on connait tous. Pour ceux qui ne connaitraient pas, allez écouter leur collab avec les rappeurs US : BlakRoc. Top!
Un petit aperçu...


Bon et sinon, vous me direz, mais pourquoi elle nous parle de Tristesse Contemporaine dans le titre?! Parce que c'était ce que j'avais choisi en première partie!
Au Club Transbo, hier soir, en parallèle du concert des Black Keys, il y avait le trio de Tristesse Contemporaine.

 Photo : Eric Beckman

Photos à retrouver sur leur Tumblr

Composé de trois apatrides installés à Paris, la Japonaise Narumi (tellement belle!), le Suédois Leo Hellden (avec le masque) et l’Anglais Maik, Tristesse Contemporaine a trouvé refuge auprès du collectif et label parisien Dirty. D'où le "trio parisien" qu'on entend dans toutes les bouches!

Le son est très intéressant. Un mélange de beaucoup de styles. Très imprégné des années 80, avec une rythmique à la Joy Division sur certains morceaux. Un style très Dark. Quelque chose de profond avec des boucles qui vous enivrent... Bref, "y a un truc"! Et puis, la voix du chanteur, entre le chant et le slam. Ce qui m'a fait pensé à Fujiya & Miyagi. ça donne un style très cold mais dans le sens positif du terme...je vous laisse en juger par vous même avec le morceau Daytime-Nighttime...


On a envie de se laisser aller et se faire emporter par cette tristesse. Bref, j'ai tout aimé : du nom (génial, ça sonne!), à la scèno toute simple mais efficace, et les morceaux...c'est jeune, "nouveau" et brillant.



LA TRISTESSE DURERA TOUJOURS

• J •

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